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0 La République Démocratique du Congo étant un scandale géologique en Afrique et dans le monde. Ses richesses à savoir sa faune, sa flore, son sol et sous-sol n’ont toujours pas véritablement profité aux Congolais.
Dès son accession à la magistrature suprême en 2019, Félix Tshisekedi s’est investi dans la recherche des solutions afin de changer la donne. C’est ainsi qu’il a mis en place moult stratégies pour que le pays tire mieux profit de ses richesses naturelles et minérales. Il s’agit principalement de la révision de certains contrats miniers avec les exploitants étrangers, notamment la révision du contrat sino-congolais réévalué à 7 milliards de dollars Américains.
Après la révision de contrats miniers, le pays met désormais l’accent sur une exploitation profitable et une transformation des minerais sur place. Cette dernière stratégie pourrait récolter un franc succès dans plusieurs secteurs de la vie, car les milliers d’emplois seront créés. Les infrastructures seront érigées et modernisées pour le bien-être de la population congolaise. Cette nouvelle disposition portant sur une mesure d’interdiction de l’exportation des minerais congolais à l’état brut doit être établie dans un cadre légal afin de booster l’économie nationale qui repose essentiellement sur le secteur minier.
Par ailleurs, cette réforme comporte un grand avantage car les investisseurs étrangers seront contraints d’installer des usines de transformation en RDC, ce qui influera positivement les opportunités d’emplois pour de milliers des jeunes et participera, au-delà de tout, à la création de la classe moyenne en RDC. Elle contribuera par la même occasion à la maximisation des recettes et mettra de manière drastique un terme à la fraude minière.
Pour y parvenir, le Chef de l’Etat congolais Félix Tshisekedi fait de la lutte contre la corruption et la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, son cheval de bataille pour son second quinquennat. Tshisekedi a révélé que la jeunesse de la population congolaise est son principal capital.
